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Le 14 au hasard
13 mars 2019

La LGV qui mène à Bordeaux

Elisabeth Borne, ministre chargée des Transports, annonçait la programmation des investissements pour la future loi Mobilités qui sera présentée au mois d'octobre à l'Assemblée. Dans la continuité du Rapport Duron rendu en février dernier, la Ministre des Transports a confirmé l'intérêt et la priorité qui sera donnée aux 2 projets de lignes à grande vitesse Bordeaux-Toulouse et Montpellier-Perpignan. La présidente de Région se félicite de cette annonce qui sera discutée le 25 septembre prochain avec la Ministre pour détailler le calendrier et les modalités de réalisation de ces infrastructures. « C'est la première fois que la ministre des Transports Elisabeth Borne annonce officiellement la priorisation de nos 2 LGV alors que, dans le même temps, des dizaines de grands projets en France sont reportées sine die. Aujourd'hui, le Gouvernement reconnaît enfin leur intérêt, leur pertinence et leur faisabilité. C'est donc une très bonne nouvelle pour l'avenir de la région et la dynamique de nos territoires. Emmanuel Macron, né le 21 décembre 1977 à Amiens, est le fils d'un couple de médecins. Son père est neurologue, sa mère pédiatre, et tous deux sont professeurs au CHU d'Amiens. Aîné de la fratrie, il a un frère et une soeur, il passe une grande partie de son enfance chez sa grand-mère adorée, directrice de collège élevée par des parents illettrés. Il suit sa scolarité chez les Jésuites de la Providence à Amiens. Elève brillant - il est lauréat du Concours général de français à 16 ans - il se passionne également pour la musique et décroche le troisième Prix de piano du Conservatoire d'Amiens. En terminale, il arrive au lycée Henri-IV à Paris. Diplômé de Sciences Po Paris, il entame ensuite un cursus universitaire à Nanterre. En mai 2012, il accepte la proposition de François Hollande, rencontré en 2007 lors d'un dîner chez Jacques Attali, de rejoindre l'Elysée en tant que secrétaire général adjoint de la présidence. Le 26 août 2014, il est nommé Ministre de l'Economie, de l'Industrie et du Numérique dans le deuxième gouvernement de Manuel Valls. Le 30 août 2016, Emmanuel Macron annonce sa démission du gouvernement. Quelques semaines plus tard, le 16 novembre, il annonce officiellement sa candidature à l'élection présidentielle 2017. Le 23 avril 2017, lors du premier tour de l'élection présidentielle, il arrive en tête des suffrages avec 24 % des voix. Le 7 mai 2017, il remporte l'élection présidentielle avec plus de 66% des suffrages, et devient le plus jeune Président de la République française. Côté vie privée, Emmanuel Macron est marié depuis octobre 2007 à Brigitte Trogneux, professeur de français de vingt-quatre ans son aînée, rencontrée en classe de première au lycée La Providence d'Amiens lors d'un atelier théâtre. Son épouse a trois enfants nés d'une précédente union. On doit condamner purement et simplement l'antisémitisme. Malgré la tournure de plus en plus insurrectionnelle que prennent les manifestations des «gilets jaunes», Didier Guillaume ne croit pas le pays menacé. Pour le ministre, «la république n'est pas mise en péril. La république elle est forte, elle est résistante, elle est résiliente». En revanche, «ce qui est mis en péril, c'est notre “vivre ensemble”». Et ce sera le rôle d'Emmanuel Macron de le sauver, même si pour l'heure, la crise des «gilets jaunes» semble insoluble dans le «grand débat national». «À situation exceptionnelle, réponse exceptionnelle, promet le ministre. On ne pourra pas en sortir par des bouts de réformettes». Lui veut une sortie de crise en trois temps. «Il faudra redonner la parole au peuple. C'est pour ça qu'une des réponses sera d'interroger les Français», explique-t-il sans s'avancer plus avant sur la question du référendum. Deuxième temps, une expression forte du président de la République pour expliquer les conclusions qu'il tire du grand débat. Troisième temps enfin, une réponse législative à l'Assemblée nationale et au Sénat. A l’école Uderzo, le ministre est une rock star. Il a signé des autographes à la pelle durant une bonne dizaine de minutes et lu une lettre du petit Amine, qui le remercie d’être venu dans une école de quartier. En classe il a interrogé les élèves sur leurs futures orientations. « Moi aussi je voulais être vétérinaire » répond jean Michel Blanquer à un écolier. A son arrivée le ministre a également échangé longuement avec une poignée de gilets jaunes venus l’interpeller sur des questions d’éducation : les AVS, les bourses et les effectifs notamment. C’est le thème de sa première visite. Il échange actuellement avec les institutrices pour recueillir leur sentiment sur ces CP dédoublées. Hier le ministère a communiqué sur les bons résultats de ces classes dédoublées qui ont diminué la proportion de d’enfants en grande difficulté en français et maths. Quand il a posé le pied sur le quai de la gare d'Angoulême, la préfète l'a prévenu: "quelques enseignants sont venus vous accueillir". Jean-Michel Blanquer, le ministre de l'Education nationale. Il est en visite en Charente toute la matinée, à Angoulême d'abord pour parler des CP dédoublés, puis à Barbezieux. Ancien maire de Forcalquier devenu député puis délégué général de La République en marche et secrétaire d’État chargé des relations avec le Parlement, Christophe Castaner est aujourd’hui un homme qui fait partie d’un cercle rapproché du président de la République. Et pourtant, qui aurait cru qu’il a connu une jeunesse mouvementée ? Ce dimanche 3 juin, Le JDD lève le voile sur sa face cachée, enfouie dans son passé mais dont certains détails font encore partie de sa vie. En 2008, Christian Oraison, un caïd des Alpes-de-Haute-Provence, a été abattu de plusieurs balles. De ses années méridionales, il a conservé « quelques discrètes cicatrices » et un souvenir : sa chaîne en or, autour du cou. Il s’agit d’un cadeau de sa mère, qu’il a refusé d’enlever malgré les demandes de tous les communicants. « Je ne l’ai jamais quittée. Je la cache en mettant une cravate parce qu’il paraît que sinon, ça fait trop kéké », confie au JDD l’ex-porte-parole du gouvernement. Mounir Mahjoubi a-t-il dépassé les bornes ? Ce mercredi 9 janvier, le secrétaire d’Etat au Numérique a été la cible du Canard Enchaîné. Le journal révèle ainsi dans son nouveau numéro que l’ex-président du Conseil national du numérique avait troqué sa voiture de fonction, une Renault Talisman, pour un véhicule beaucoup plus luxueux : une DS7 Crossback signée Citroën. Un bolide pour lequel il aurait dépensé 48 500 euros et 6 000 euros, dans le but de rendre la voiture conforme à ses besoins ministériels. Le Canard Enchaîné ne s’arrête pourtant pas là dans ses révélations. D’après le journal Mounir Mahjoubi aurait même décidé de changer de décoration dans son bureau, en renvoyant le bureau et la moquette de son lieu travail. En échange, il aurait fait venir les meubles et les tableaux de son ancien cabinet, avenue de Ségur. Un changement de mobilier qui aurait coûté "un déménagement", toujours selon les informations du Canard Enchaîné. Suite à ces révélations, le secrétaire d’Etat de 34 ans est bien décidé à se défendre. Interrogé par Capital, la nouvelle recrue du ministre de l’Economie et du ministre de l’Action publique (il a été nommé secrétaire d’Etat auprès de ces derniers en octobre 2018, ndlr), a démenti toutes les déclarations du journal satirique. En ce qui concerne son véhicule, il insiste : "C’est faux. Je ne l’ai pas décidé. Tous les véhicules du ministère ont été renouvelés. Et je rappelle que c’est du leasing". Soit une location qui permet également un achat éventuel d’un bin d’équipement. Et pour son changement de mobilier, Mounir Mahjoubi a aussi une bonne explication. Quand le gouvernement va arrêter de se foutre de notre gueule ? Mounir Mahjoubi a fait changer sa voiture de fonction pour un modèle plus luxueux, et le salaire de 14700 € à Jouanno pour aider les gilets jaunes. Retour à l’école pour le ministre de l’Intérieur. Christophe Castaner a répondu aux questions des enfants d’ «Au tableau! », émission créée par Caroline Delage et produite par Mélissa Theuriau. Le tournage a eu lieu durant le week-end et l’émission sera diffusée le 20 février sur C8. Le maire de Nice, Christian Estrosi, s’est également prêté à l’exercice. En 2017, les enfants âgés de 8 à 12 ans avaient cuisiné quelques candidats à l'Elysée parmi lesquels Emmanuel Macron, François Fillon et Jean-Luc Mélenchon. Ont suivi Edouard Philippe et Anne Hidalgo en novembre 2017, Manuel Valls et Nicolas Hulot en février 2018, Marlène Schiappa et Christiane Taubira en avril et enfin Jean-Michel Blanquer et Bernard Tapie en novembre. Le programme s’ouvre également à des personnalités étrangères au monde politique. Après Omar Sy, Jamel Debbouze, Teddy Riner, Xavier Niel, Kev Adams, Malik Bentalha et la star du PSG Kylian Mbappé, ce numéro sera l'occasion de découvrir sous un autre angle le comédien Kad Merad. Malgré cela, la révolte des « Gilets Jaunes » peut faire basculer le monde de Macron par une révolte populaire violente qui échapperait à tout contrôle, ou de manière raisonnée par des élections anticipées. Quoi qu’il en soit, la fin du monde de Macron entraînera aussitôt la France vers un vrai changement de politique, avec la fin de la dictature LREM socialiste et du racket fiscal immigrationniste de Macron. Mais par le passé, avec « le changement c’est maintenant », il y a eu des moments au cours desquels la perspective d’un changement a été usurpée par des politiciens véreux et corrompus. C’est ce qui a motivé des millions de personnes à fuir les élections pour éviter d’être abusés par des politiciens malhonnêtes. C’est pourquoi la révolte des « Gilets Jaunes » est déjà la perspective d’un changement remarquable sans que Macron ait voulu qu’il se produise. Ce n’est pas une coïncidence, car la France vit une époque où le peuple n’est plus représenté par les bourgeois socialistes de la mondialisation LREM. « Être présidente de région, c'est une fonction extraordinaire ! C'est une fonction qui m'aurait plu. Je l'ai d'ailleurs dit à Carole Delga quand elle s'est présentée », confiait, en toute franchise, Nicole Belloubet au magazine toulousain Boudu. La jeune présidente PS de région n'a d'ailleurs pas davantage réagi à la nomination de Nicole Belloubet que l'ancien maire de Toulouse. Seule l'une de ses vice-présidentes s'est bruyamment réjouie. « Je souhaite qu'elle puisse mettre ses hautes qualités de juriste et intellectuelles au service de la République », a gazouillé Nadia Pellefigue. Cette apprentie frondeuse, proche politiquement d'Arnaud Montebourg, a aussi eu l'occasion d'approcher dans la vie quotidienne la nouvelle ministre, veuve et maman de trois enfants, depuis son plus jeune âge. Quand on parle de « recomposition politique », il faut aussi compter avec les familles recomposées. Éternelle « Poulidor » de la vie politique locale et régionale, Nicole Belloubet peut-elle, à 62 ans, jouer désormais les premiers rôles à Toulouse ? Les manœuvres d'appareil ne sont pas le fort de cette spécialiste de droit public, unanimement louée pour sa capacité de travail. Désormais seule ministre originaire du Sud-Ouest au gouvernement, elle pèsera assurément au sein d'une gauche jadis omniprésente qui hésite encore entre l'opposition franche et « constructive » face à Emmanuel Macron. Son intronisation-surprise au sein de la Macronie devrait aussi paradoxalement accélérer la satellisation en cours du maire de la Ville rose, ancien président départemental de l'UMP proche d'Alain Juppé, dans l'orbite du nouveau gouvernement. Ne serait-ce que pour éviter d'avoir à affronter une candidate En marche ! La réforme du lycée n’est pas encore pleinement en vigueur que déjà le ministre de l’éducation ouvre de nouveaux chantiers, notamment ceux, sensibles, de la formation des enseignants et de l’évaluation des établissements. Jean-Michel Blanquer reste intimement convaincu qu’il n’y aurait pas eu de contestation lycéenne, ces dernières semaines, sans la crise des gilets jaunes. Pas sûr que ces informations suffisent à rassurer élèves, parents et professeurs. Car le nombre de spécialités proposées varie parfois du simple au double - sans que cela soit forcément lié au rayonnement des établissements. Au-delà, c’est l’esprit même de sa réforme qui souvent se trouve questionné. Réforme du lycée, quels choix pour les élèves ? Mieux vaut, pour la première, choisir la « triplette maths, physique-chimie et Sciences de la vie et de la Terre » si l’on veut intégrer après le bac une école d’ingénieurs, reconnaît le ministre. Mais les attendus sont bien plus larges dans la plupart des formations du supérieur, désireuses de diversifier leur recrutement, assure-t-il. La semaine européenne pour l’emploi des personnes handicapées s’ouvre aujourd’hui dans un contexte de forte hausse du chômage. Les personnes en situation de handicap sont les plus touchées par le chômage puisque seules 43 % des personnes invalides sont en activité. Pour débloquer l’accès à l’emploi de ces personnes, des solutions comme l’alternance et l’apprentissage sont de plus en plus plébiscitées par la ministre du Travail, Muriel Pénicaud. Selon les derniers chiffres de l’INSEE, seules 43 % des personnes en situation de handicap sont actives contre 72 % des 15-64 ans : comment expliquez-vous ce chiffre ? Aujourd’hui, 24% des personnes en situation de handicap ayant un emploi ont le bac ou plus. C’est 49% pour les personnes valides. Comment voulez-vous garantir un emploi durable avec un faible niveau de qualification ? Ce constat signifie que si je suis une personne en situation de handicap, j’ai deux fois plus de chance d’être au chômage qu’une personne valide. C’est inadmissible. Il faut que l’emploi devienne inclusif et nous devons garantir la formation pour tous. Quels sont, selon vous, les freins de l’entreprise à embaucher des personnes en situation de handicap ?

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